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Les débuts
Il y a longtemps que la maison paroissiale dite "Le Couvent" accueillait des religieuses lorsqu'en 1928 l'une d'entre elles, Mademoiselle R. Bélières, vendit les bâtiments à une association nouvellement créée: l'Association de Bienfaisance et de Patronage, ou association Paroissiale, à condition que les utilisateurs en poursuivent les buts chrétiens. A cette époque, les deux soeurs Françoise et Bernadette y soignaient les malades et aidaient le Père Raymond, curé de la paroisse, à faire le catéchisme. En 1953, Soeur Marcelle prit place dans la maison, elle s'y dévoua, assurant la garderie des petits enfants ainsi que le déroulement des activités catéchétiques.
Vatican II
Dans les années 1960 et particulièrement après le concile Vatican II, les laïcs s'impliquèrent de plus en plus dans la vie de la paroisse et dans ses diverses tâches; c'est ce que l'on appela l'apostolat des laïcs. De nombreux groupes étaient en formation. La maison paroissiale devint naturellement le lieu de rencontres de ces nouveaux "apôtres" jeunes et moins jeunes, rassemblés autour du curé Bernard, installé dans la paroisse depuis 1961.
Il y a longtemps que la maison paroissiale dite "Le Couvent" accueillait des religieuses lorsqu'en 1928 l'une d'entre elles, Mademoiselle R. Bélières, vendit les bâtiments à une association nouvellement créée: l'Association de Bienfaisance et de Patronage, ou association Paroissiale, à condition que les utilisateurs en poursuivent les buts chrétiens. A cette époque, les deux soeurs Françoise et Bernadette y soignaient les malades et aidaient le Père Raymond, curé de la paroisse, à faire le catéchisme. En 1953, Soeur Marcelle prit place dans la maison, elle s'y dévoua, assurant la garderie des petits enfants ainsi que le déroulement des activités catéchétiques.
Vatican II
Dans les années 1960 et particulièrement après le concile Vatican II, les laïcs s'impliquèrent de plus en plus dans la vie de la paroisse et dans ses diverses tâches; c'est ce que l'on appela l'apostolat des laïcs. De nombreux groupes étaient en formation. La maison paroissiale devint naturellement le lieu de rencontres de ces nouveaux "apôtres" jeunes et moins jeunes, rassemblés autour du curé Bernard, installé dans la paroisse depuis 1961.
L'époque moderne
Il fallait que l'association trouve des fonds pour assurer les travaux d'entretien; une kermesse fut créée en 1977; ce fut rapidement un vif succès et elle permit d'assurer le fonctionnement de la maison. En 1977, un loto annuel a vu le jour et la statuts, vieux de 1928, furent profondément changés et adaptés aux exigences d'aujourd'hui et aux pastorales nouvelles. L'association et la maison portent maintenant le nom de Saint Bernard. Le catéchisme est toujours enseigné aux enfants de l'école primaire et de nombreux groupes caritatifs, de réflexion et de prière, d'enseignement auprès des jeunes, des adultes, ont été créés. Les scouts y ont fixé leur base et leur camp etc... D'autres encore sont à venir car l'Eglise est vivante et toujours animée par l'Esprit Saint.
Conclusion
Depuis longtemps comme nous pouvons le constater, des millers d'homme et de femmes ont travaillé dans cette maison, peiné, pensé, prié, enseigné, soigné, nourri. Des personnes indigentes ou nécessiteuses y ont trouvé un réconfort, une aide, de quoi manger ou dormir et dans les années à venir il en sera encore ainsi.
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